Ne me libère pas, je m’en charge

C’est une sorte de cérémonie : libérer le collage quand, pour une raison ou une autre, je ne l’ai pas improvisé-collé sur place. En fait j’ai même commencé par les composer dans des carnets, des feuilles de plus en plus grandes et ça n’allait jamais : leur territoire c’est le mur, le trottoir, ou la zone à cheval entre les deux - comme le cul entre les deux chaises. Ils y débordent, ils s’immiscent, se glissent, s’étalent… Bref, aujourd’hui celui-ci a pris son envol. C’est bien la première fois que je me fais l’effet d’être un paon somptueux, je savoure…

Plus sur les gigantic collages là.

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